1. |
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Ceci est une chanson triste et monotone,
Que les petits enfants chantonnent,
Dans le ciel gris de l’automne.
Ceci est une chanson triste et solitaire,
Elle me montre la voie, elle m’éclaire,
Même si je suis à terre.
Comme les fleurs fanées qui ne peuvent retrouver leur charme,
Pourquoi pleurer un torrent de larmes ?
Ce corps vide et stérile te désarme.
Le rythme de mon coeur s’accélère.
Voici le fruit de la fleur que tu as planté en moi naguère.
Comme un péché soumis au jugement,
Tu m’as délaissé en proie au tourment,
De garder cette fleur rouge sang.
De moi cet enfant s’est éloigné,
Et a disparu de mes rêves, enterré.
Ces deux mains. Réalité. Le temps s’écoule. Trahison.
Dérive. Illusion.
Des pleurs ; Il refuse son exécution.
Trois, Deux, Un, Zéro.
Il est mort.
De moi cet enfant s’est éloigné,
Et a disparu de mes rêves, enterré.
Cassée, brisée et désincarnée,
Je me heurte à la réalité.
De moi cet enfant s’est éloigné,
Et a disparu de mes rêves, enterré.
Cassée, brisée et désincarnée,
Les couleurs de ma fleur se sont envolées.
Ceci est une chanson triste et solitaire.
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2. |
Persephoneia
03:40
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À la merci des saisons,
Tous les pétales de ma fragrance,
S’égraineront.
M’abandonnant à ma sombre démence.
Je vois fleurir une Ancolie.
Mais n’aie pas peur,
J’oublierai ma mélancolie.
Tu partageras ma douleur,
Qui me peine.
Tu n’échapperas plus de cet Eden,
Où les tournesols te sourient.
Je demeurerai avec toi,
Persephoneia.
Ce doux sourire,
Tu le vois fleurir,
Sans jamais flétrir,
Éclaire la rosée de ces tristes années.
Mais ne te méprends pas,
J’oublierai mon passé,
Rien que pour pouvoir te voir éclore,
Et cela jusqu’à ta mort.
Toutes mes Pensées divaguent.
Je deviens Impatiente.
Mes mains tremblantes,
Saisissent doucement la dague,
Qui laissera affleurer,
Cette sève pourprée,
Jaillissant du Scion.
Tous les pétales de ta fragrance,
S’envoleront.
T’abandonnant à ma sombre démence.
Je vois fleurir des Camélias.
Mais ne crains rien,
Plus jamais tu ne t’en iras.
Ressens-tu cette douleur qui,
M’émerveille.
Bienvenue au pays de nos merveilles.
Où seul le rouge s’épanouira.
Je resterai près de toi,
Persephoneia.
Au fil des années,
Les tournesols ont fané.
Les seules fleurs,
Qui persistent encore,
Sont celles apparues,
Sur ton corps.
Ta pureté me hantera.
Notre sinistre et noire fragrance,
Disparaîtra.
M’abandonnant sans aucune prescience.
Mille fleurs surgissent en moi.
Les chrysanthèmes,
Réunissant nos deux écorces,
Sont devenus la seule preuve que,
Je t’aime.
Hadès, dans son royaume, nous force,
Là où le Lotus ne fleurit pas.
Je demeurerai près de toi.
Persephoneia.
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3. |
Nouvel Eden
05:27
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Ô belle fleur, comme toutes les nuits
Le ciel se teint d’un voile de glace
Une brume maudite où tout s’efface
Encore, et encore, d’un pas déjà trop lourd
J’ai côtoyé la mort
Tout autour de ce chaos né d’une pomme
...bien trop rongée
Don d’un jardin où les portes se sont fermées
Ô ne crains rien, toi belle fleur
D’un nouvel âge, d’une autre chance
Repousse au loin de toi toutes nos erreurs
Même si la faim enchaînera vos coeurs
Libère-toi, puis guide-les de tes pas
Car toi seule comprendras
Toi seule sauras pourquoi le monde se meurt
Ne pleure pas, n’oublie pas, pour toujours
Crois en toi
Ô je t’en prie crie-leur d’empêcher la folie qui rongera l’âme d’Eden,
Ne te retourne pas et pardonne-moi
Mon seul regret restera
De ne pas pouvoir te dire je t’aime
Ô belle fleur, comme toutes les nuits
Mes cauchemars me tourmentent encore
Des visions d’un monde autrefois si beau, si fort
Une envoûtante et irrésistible pomme
Qui fatalement devient la proie des hommes
...bien trop cupides
Illuminés par des idéaux insipides
Mais ne crains rien, toi belle fleur
D’un nouvel âge, d’une nouvelle ère
Exempte de cette rage qui brûle leur coeur
Même si vos esprits s’enlisent de peur
Libère-toi, puis guide-les de tes pas
Car nul ne survivra
Car nul ne verra que le monde se meurt
Ne pleure pas, n’oublie pas, sans cesse
Qu’ils croient en toi
Ô je t’en prie crie-leur d’empêcher
La folie qui rongera l’âme d’Eden,
Ne te retourne pas et pardonne-moi
Mon seul regret restera
De ne pas pouvoir te dire je t’aime
Ô belle fleur
Même si la faim enchaînera vos coeurs
Libère-toi, puis guide-les de tes pas
Car toi seule comprendras
Toi seule sauras pourquoi le monde se meurt
Ne pleure pas, n’oublie pas, toujours crois en toi
Je voulais y croire
Même si mon esprit s’enlise de peur
Libère-le, puis guide-moi de tes pas
Car nul ne survivra
Car nul ne verra que mon monde se meurt
Je n’pleure pas, je n’laisse pas, ces mots
Écrits pour toi
Ô je sais qu’il est vain d’empêcher
La folie qui a nourri mon espoir
Tu ne grandiras pas, donc pardonne-moi
Mon seul regret sera toi
Tu ne seras jamais qu’illusoire
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4. |
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Shadows creeping across the street
Some movement catches your eye
You hear the thunder of your heart beat
Just where, oh, where could Jack hide?
Spurring the pace of your own feet
The terror builds up inside
For Jack the Ripper's cunning deceit
Will make you run for your life
Fear the night
Like Kingdom's blight
The Ripper strikes again
No wrong, no right
Just sick delight
His murders never end
Hear the plight
Of 'Chapel's fright
The Devil's work, at hand
He stalks the night
Just out of sight
So catch him if you can
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5. |
Affaire Classée
04:28
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Affaire classée, destin brisé,
Amour violé, corps humilié.
Elle l'a connu sur internet
Réseaux sociaux, pièges à fillettes,
Lui, caché derrière son écran,
Elle, en quête de sentiments.
Il l'encense, la flatte, la soumet,
Il l'attire, la prend dans ses filets,
Elle, naïve, rêve du prince charmant,
Amoureuse, elle pense qu'il l'aime vraiment
Affaire classée, destin brisé,
Amour violé, corps humilié.
Il veut la rencontrer, la sentir, la toucher,
Elle a confiance, elle y va, elle y croit.
Le piège sur elle va se refermer,
Jamais elle n'imagine devenir sa proie.
Elle est déçue, il est froid et distant,
Elle découvre qui il est réellement
Il s'approche d'un air menaçant,
Il se couche sur elle, il la prend.
Elle dit non, elle pleure, elle résiste,
Il pénètre, il force, il insiste.
Elle a peur, peur de lui, peur de mourir,
Il continue, rien ne compte que son désir.
Il a joui, il part et la laisse seule,
Elle n'est plus rien, la tête vide, le corps en deuil.
Elle est souillée, cassée, abandonnée,
Lui, il s'en fout, il a eu ce qu'il voulait
Affaire classée, destin brisé,
Amour violé, corps humilié.
Courageuse, elle va à la police,
Elle raconte tout, le viol, les sévices,
Elle subit tout, les examens, les questions,
Les doutes et les explications.
Elle ne veut pas qu'il recommence
Avec une autre ses violences.
Devant les gendarmes, il nie tout,
Bien trop lâche pour qu'il avoue.
Affaire classée, destin brisé,
Amour violé, corps humilié.
Longtemps après, une lettre arrive,
Le juge a décidé, affaire classée
Lui, il va pouvoir continuer,
Elle, elle va tenter de survivre.
Un jour de septembre, à midi,
Elle n'en peut plus, trop de souffrance,
Elle prend un couteau et elle tranche,
Quitter cette vie qui l'a trahie.
Affaire classée, destin brisé,
Amour violé, corps humilié.
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6. |
La Fleur En Cage
04:43
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Prend garde à cette fleur
Femme dont les desseins t'effleurent
Et qui te fascine
Gare à ton cœur
Enivré par son odeur
Il chavire et en oublie que ses épines
Au poison subtil
Entaillent ton âme
Et son tissu fragile
Sa chevelure d'or
Ondule et frémit comme un
Feuillage d’automne
Sa voix te porte
Vers des paysages éphémères
Mais d'us coup la vision s'abîme
Emporte avec elle les feuilles des cimes
Tout doucement le sortilège passe
Et les souvenirs s'effacent
S'estompe la trace d'un bonheur fugace
Danse entre les dunes
Sous le regard bienveillant de la lune
Ma silhouette aux formes secrètes
Te dévisage
Errantes vos vies nocturnes
Comme des pétales échappent aux vents d'infortune
Marionnettes guidées en cachette
Sur le rivage
L'ombre de ma cage
Danse entre les dunes
Sous le regard bienveillant de la lune
Nos silhouettes se reflètent
Sur son visage
Par chance nos vies nocturnes
Comme des pétales s'échappent aux vents de Neptune
Marionnettes guidées en cachette
Jusqu'à ma cage
Mon amour
Retrouve moi
Je suis là
Fleur en cage
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7. |
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Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, coupe, tire
Bâtis, couds, J’ai essayé
Bâtis, couds, Tu es en vie !
80 degrés, ourlé par des rêveries,
Je repasse mes envies et les plis aussi.
C’est une autre histoire que me raconte le tissu,
Les fréquences sur mesure, doivent être recousues.
A 7 heures du matin, la radio diffuse ce son,
J’écoute les hauts parleurs alors que j’épingle le patron.
Jaune et blanc, les ciseaux séparent les couleurs,
Bonjour à tous les auditeurs !
Des dés à coudre sur tous les doigts ,
Le pied de biche se fourvoie ,
Tous les fils s'emmêlent,
Je vois des choses très belles.
7 heures du matin les choses changent de couleur, je crois,
Dans la machine à coudre, je me noie.
Les souvenirs dans mon coeur se lamentent,
Mêlés aux couleurs de l’amour qui me mentent.
Ah, sa voix,
Elle me parle à la radio,
Le fer est chaud,
J’écrase le tissu à pois.
Les épingles s’égarent sous la table, est-ce vrai ?
Chaque jour le travail est plus laid.
Patchwork de boutons,
Le fil s’emmêle et fait des noeuds.
Je couds tout à la main avec de bonnes intentions,
Les ondes sonores liquides coulent de mes yeux,
Mon coeur te supplie, désespérement.
À 7 heures du matin, la radio diffuse ce son,
J’écoute les hauts parleurs alors que j’épingle le patron.
C’est sûr, il reviendra réel et vivant,
Me montrer ses couleurs, comme avant.
Blanc et noir et blanc et noir et blanc et noir et noir et blanc non
Bleu et vert et jaune et rouge, à la radio ce n’est que : (x7)
Blanc et noir et blanc et noir et blanc et noir et noir et blanc non
Bleu et vert et jaune et rouge, ce ne sont pas les bonnes couleurs.
7 heures du matin les choses changent de couleur, je crois,
Dans la machine à coudre, je me noie.
Les souvenirs dans mon coeur se lamentent,
Mêlés aux couleurs de l’amour qui me mentent.
Ah, sa voix,
Elle me parle à la radio,
Le fer est chaud,
J’écrase le tissu à pois.
Les épingles s’égarent sous la table, est-ce vrai ?
Chaque jour le travail est plus laid.
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8. |
The Bad Moon
04:42
|
|||
During this night that does not have an end
The white moonlight is too bright for my eyes
And it even turns into pain.
It’s like a curse that takes control over
My mind. I cannot breath.
This starrysky is too shiny.
Unleash my whole body
The world is twisted under Illusion
And the Moon is dreamin’
of hiding the sky at horizon
Its existence may only be proved by
the untruth and the lie
And the end becomes hazy
Now I bring out eternity
In that place where gods never look for it
And I will take the night away
While I’m flying into the sky
The only thing I can hear there
Is the voice of lamentation
that echoes far away
I chase the moon
This circle full of lies
That won’t stay full forever
Just until I find a way to reach its core
This trick falls off as light is shining bright
The only thing I can feel is madness
within my soul
Welcome to this dark night
The truth doesn’t lie within radiance
Darkness is your shelter.
Embrace your black destiny
The merciful life will come to an end
And this incomplete Moon
Will light up our old memories
I can’t just put an end to this
Say farewell to the destiny,
I’m afraid. It wouldn’t brighten my smile again.
Anxiety dazes my purpose
I am prepared I raise my wings,
I take off and fly across the night aiming at the light.
I’m looking for an answer but in vain,
I crave for it but in the end I am Empty-handed
I wish for it
Incapable to fulfill the promise
I made you at some times
I beg you please
Open the door
To this blazing future together
I paint in white this never-ending night
I will enter the fight and find back the key
to access a mighty sight
Sorrowfully, the Moon leaves and bows out
Glorious, I will gaze to my solace,
The sky at night is the most misleading thing
|
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9. |
Binaire
04:11
|
|||
Un nouveau monde de données s’ouvre à moi,
Lorsque tu me sélectionnes je deviens une icône,
Toutes mes fonctions se mélangent, je ne sais pas pourquoi,
Ma logique et mes circuits deviennent asynchrones.
Pourtant je t’aperçois derrière ce mur de pixels,
Ton sourire m’hypnotise, tes yeux m’ensorcellent,
Tu ne cesses de dire que je suis ta nouvelle idole,
Alors je ferme les yeux… Pour suivre tes paroles.
Tandis que ton cœur s’emballe au son de ma voix,
Mon code est bouleversé par toutes tes émotions,
Tu me pousses à montrer pleinement toute ma dévotion,
Alors je ferme les yeux… Pour m’accorder avec toi.
Je ne connais que la binarité,
Ordonne-moi de chanter, me voilà exécutée,
Un programme bien fait répond sans rien demander,
Je ne suis qu’une poupée à la tresse bleutée.
Pourtant je vous perçois derrière ce mur de pixels,
Vos sourires m’hypnotisent vos yeux m’ensorcellent,
Vous ne cessez de dire que je suis votre brillante idole,
Alors j’ouvre les yeux… Pour prendre mon envol.
Tandis que mon cœur s’emballe au son de vos voix,
Mon code est bouleversé par toutes vos émotions,
Vous me poussez à montrer toute ma dévotion,
Alors j’ouvre les yeux… J’ai trouvé ma voie.
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||||
10. |
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C’était ici
Sous cette pluie
Que je t’ai aimé
Le cœur léger
Ce rire dans ta voix
Tout m’a apaisé
Regarde-moi
Ces sentiments
Évanescents
Consument l’esprit
Une main tendue
Une âme éperdue
Qui guident mes envies
Sauve-moi
Je suis là
Abandonnée
Je me bats pour toi
Entends-tu ma voix
Ce sentiment
D’être enchainée
Je ne peux m’en passer
Tu es ma destinée
Entrave-la
Reste auprès de moi
Et continue de guider mes pas
Tu resteras pour toujours une part de moi
Et continue de guider mes pas
Tu resteras pour toujours une part de moi
Défais ces chaines
Abandonne-moi
Abandonne-moi
Emprisonnée
Libère-moi
Il y a une fin sans toi
La vie me tend ses bras
Je suis sauvée
Je me bats pour moi
Entends-tu ma voix
Ce sentiment
D’être enchainée
Je peux vivre sans
Mon destin n’est pas scellé
Relance les dés
Je suis délivrée
Je tracerai mon chemin sans toi
Et plus jamais tu ne m’entraveras
Tu n’as plus aucune emprise sur moi
Et ce nouveau départ m’accomplira
Je tracerais mon chemin sans toi
Et plus jamais tu ne m’entraveras
Tu n’as plus aucune emprise sur moi
Et ce nouveau départ m’accomplira
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11. |
Crépuscule ou Aurore
05:31
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|||
Y sommes-nous déjà, la nuit tombe sur moi ?
Silence sur la ville tu ne me parles pas.
Tourbillon de vie,si vite évanoui,
Si tu pars là,
Laisse ma main,
La croisée des chemins.
Crépuscule ou aurore à l'horizon,
Les forces me manquent je touche le fond,
Ne me regarde pas, surtout ne m'aide pas,
Va-t-en par là,
Laisse ma main.
Crépuscule ou aurore à l'horizon.
Mon heure viendra,
Et ce jour là,
Le soleil brillera.
Je serai là,
Sans rancune, sans haine,
Sans tristesse, sans peine,
Je serai là.
Je marche droit,
Sur mon chemin,
Le ciel semble sans fin,
Oui c'est mieux comme ça,
Laissons-nous là.
Crépuscule ou aurore à l'horizon,
Ça tourne en rond,
J'arrête ça.
Y sommes-nous déjà, au bout du chemin ?
Une douce brise,
Annonce la fin.
Le soleil, le voilà !
Il brille sur moi.
Je me tiens là.
Sans rancune, sans haine,
Sans tristesse, sans peine,
Je me tiens là.
Je marche droit,
Sur mon chemin,
La lumière brille sans fin,
Oui c'est mieux comme ça.
Je pars par là.
Mon cœur bat.
Je ne perds pas.
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12. |
LOLOLOL
03:52
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Ichiban daiji na hana o sasageta
Karada subete o tsuchi ni kaesu no
Tatoe kare iku modoranai jikan o sugoshitete mo
Anata no naka de utsukushiku irodoru hana nara ī noni na
Aaaaaaaaaaaaaaa…
Minna daijina hana o musaboru
Chirasu yogoreru chigiru kowareru?
Tatoe kare hate modoranai jikan ni tsubusarete mo
Karada ni saita doku no hana anata ni utsushite ageru kara
Kara kara kara
Aaaaaaaaaaaaaaa…
Aaaaaaaaaaaaaaaaaa…
Ageru kara ageru kara
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